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presidentielles 2007 , 2012 et 2017
29 janvier 2006

PROGRAMME COMMUN SOUHAITABLE

                          PROGRAMME COMMUN SOUHAITABLE

            Tous nos candidats proposeront soit à titre personnel soit dans le cadre de leurs partis des programmes qui devraient donner les solutions aux problèmes de la FRANCE

            Comme nous l’avons indiqué sur ce BLOG, toutes ces propositions ne seront lisibles pour les citoyens qu’à partir du moment où les candidats identifieront les causes profondes et les conséquences des erreurs commises au cours des 25 dernières années que ces programmes devront corriger.

            Les  blogs politiques joueront un rôle considérable que nos partis qui ne représentent qu’une infime partie des électeurs ne mesurent pas encore.

            La libéralisation de la parole et la nécessité d’argumenter directement sur leurs blogs contraindra les candidats potentiels à répondre eux-mêmes aux questions posées, comme cela s’est produit lors des dernières présidentielles aux USA.

            A partir des erreurs identifiées dont les conséquences subsistent encore en 2006, nous attendons tous un programme idéal qui ne sera crédible que s’il est argumenté par les possibilités financières du pays.

            OBJECTIFS

            Créer un nouveau contrat social pour l’ensemble du peuple qui prenne en compte les possibilités du patronat, les réalités du monde actuel et les aspirations profondes de l’ensemble des salariés

            Assurer une protection sociale identique pour l’ensemble des Français.

            Garantir une protection professionnelle à tous les travailleurs, salariés mais aussi patronat

                        Tout travailleur se verra accorder des droits en formation tout au long de sa vie professionnelle (minimum 5 ans) ainsi qu’un salaire

                        Tout Français sera évalue sur le plan de ses compétences tous les 5 ans afin de pouvoir suivre les formations indispensables à son employabilité.

            Capital social le capital de toute société présente sur le territoire national sera détenu à hauteur de 25% par l’ensemble du personnel

            Le salaire minimum à garantir dès que les conditions seront remplies sera au minimum de 1500€ actuels

            Une phase transitoire sera impérative car cela implique la remise au travail de la totalité des Français. Et la conquête par le PME des marchés à l’export.

            L’adaptation des PME, effectifs, fiscalité et structure d’accompagnement.

            Assurer l’égalité des chances dans l’enseignement de tous les jeunes FRANÇAIS

             Assurer un emploi à tous les jeunes qui quittent le système éducatif

          Accroître les richesses du pays en préservant l’avenir

      Conquérir de nouveaux marchés à l’export

       Accompagner les créateurs d’entreprises par des fondations d’investissements privées publiques (création des emplois industriels à partir de nouvelles technologies et de nouveaux produits protégés et non concurrencés)

        Adapter par anticipation les emplois des salariés présents dans les sociétés dont les productions sont déjà condamnées

        Accompagner tous les chercheurs français expatriés porteurs de projets industriels innovants

            Assurer une véritable égalité hommes femmes

       Conditions préalables :

            Création de crèches dans toutes les entreprises (PME incluses par regroupement)

            Création d’un véritable salaire de mère de famille

            Accompagnement et formation de toutes les mères qui reviennent à l’emploi.

            Orientation scolaire vers les filières scientifiques dès la 6°

             Reconnaître définitivement la supériorité de l’économie libérale, assortie d’un contrat social applicable dans les faits et non en théorie.

             Relance d’un nouveau programme de la constitution européenne indispensable au fonctionnement de ses institutions et à la mise en œuvre cohérente de ses politiques

        Création d’une force militaire EUROPEENNE, bras armé de sa politique étrangère mais aussi vivier de fonds dans le cadre du développement de sa recherche fondamentale et secondairement appliquée.

                Création d’un ministère d’aide au développement économique des pays du tiers monde

                 Création d’un service citoyen qui concernerait tous les jeunes Français

            Encadrement d’une structure d’aide à l’export de nos PME 100 000

            Encadrement de nos ONG  150 000

            Encadrement de nos lycées et collèges 100 000

Etc.…

                     Assurer une politique énergétique du post pétrole et du post nucléaire

          

Cette refondation sociale de notre pays doit prendre en compte les aspirations légitimes de tous nos concitoyens actuellement exclus, tout en y associant le patronat qui seul peut créer les emplois en nombre suffisant pour donner un avenir à chacun.

Ce nouveau contrat social, qui ne peut se construire sans la participation active de tous impose une PAIX des braves. Le patronat doit écouter et surtout comprendre la détresse de plus de 10 millions de nos concitoyens ; de même le monde salarial doit comprendre que sans accord avec ceux qui créent les emplois ; rien n’est possible sinon de créer des postes de fonctionnaires payés par les impôts et qui plombent définitivement toutes les marges de manœuvre nécessaires à l’Etat pour s adapter au monde évolutif que nous connaissons.

            Tous les programmes qui nous serons proposés reprendront plusieurs de ces thèmes nécessaires à la refondation du pays. Seuls ceux qui seront étayés par une analyse objective des causes de nos blocages qu’il convient de corriger et dont le financement sera proposé dans une planification rigoureuse pourront retenir l’attention des futurs électeurs.

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G
- n°1697 S'abonner au 18h.com<br /> <br /> <br /> <br /> Le quotidien de L'Expansion <br /> <br /> 31/01/2006 <br /> <br /> <br /> <br /> Le lien entre créations d'entreprises et créations d'emplois reste fragile <br /> <br /> <br /> <br /> L'Insee publie un bilan plutôt positif de la création d'entreprises en France, avec une légère hausse de 0,4% des naissances en 2005. Pour autant, depuis trois ans, l'Institut observe une augmentation de 33% de créations d'entreprises sans salarié.<br /> <br /> La création d'entreprises figure parmi les grands dossiers prioritaires du gouvernement de Dominique de Villepin et pour cause. Elle constitue en théorie l'un des principaux vecteurs favorisant la baisse du chômage. A cet égard, l'Insee a recensé d'une façon générale 316.830 créations entreprises l'an dernier, soit un recul de 1% par rapport à l'année précédente. Mais l'Institut distingue les créations pures ou « ex nihilo » des créations par reprise (reprise de toute ou partie des moyens de production d'une autre entreprise, rachat d'un fond de commerce,…) ou des créations par réactivation (cessation d'activité puis reprise ultérieure par la même personne). <br /> <br /> Or, l'analyse de l'année qui vient de s'écouler montre une légère évolution de 0,4% de ces créations pures, soit 224.831 entreprises. Sur le seul dernier trimestre 2005, l'Insee relève une augmentation en base annuelle de 3,1% des créations pures. Une tendance qui se vérifie à l'identique si l'on considère les trois dernières années, avec près de 320.000 créations en 2005 - dont 26,3% de créations pures - à comparer aux 270.000 recensées en 2002. Lors de sa conférence de presse mensuelle, la semaine dernière, Dominique de Villepin n'avait pas manqué de souligner la « vigueur « de la création d'entreprises en France. Trois secteurs en bénéficient: l'immobilier avec une progression de 7,2% d'une année sur l'autre, suivi par les services aux entreprises (+2,5%) et la construction (+1,6%). A contrario, l'Insee souligne que ces mêmes créations régressent dans les secteurs de l'industrie hors agroalimentaire, les services aux particuliers, le commerce, le transport, l'hôtellerie ou la restauration. <br /> <br /> Reste à savoir quel impact un tel boom des créations d'entreprises peut avoir sur l'emploi. A la veille de l'ouverture, mercredi, au Palais des congrès de Paris, du Salon des Entrepreneurs, une étude réalisée par l'Ifop indique que 83% des créateurs d'entreprise en 2002 n'avaient aucun salarié. Trois ans après, ce ratio tombe à 52% chez ces mêmes entrepreneurs. Pour autant, une majorité d'entre eux restent tout de même hostiles à l'idée d'embaucher du personnel. L'enquête de l'Ifop précise que la moitié des entreprises interrogées a connu au moins une embauche au cours de ces trois premières années, 29% d'entre elles ayant même recruté 3 salariés ou plus. Dans son étude, l'Insee constate que le ratio de 83% relevé en 2002 atteint aujourd'hui 86,5%. Au cours des trois dernières années, les créations d'entreprises sans salarié ont en réalité augmenté de 32,7%, constate l'Institut. <br /> <br /> L’enquête de l’Ifop pointe plusieurs obstacles rencontrés par les entrepreneurs non seulement à l’embauche, mais aussi après l’embauche. Près des deux-tiers d’entre eux avouent éprouver des difficultés dans leur recrutement « pour trouver une personne adaptée, qui corresponde au poste ». Le recrutement réalisé, ces mêmes entrepreneurs évoquent des insatisfactions (34%) concernant soit le comportement de la personne embauchée, soit ses compétences (28%). 27% d’entre eux soulignent des difficultés de trésorerie liées à l’embauche et 20% des complexités administratives. Quant à ceux qui ne souhaitent pas recruter, 58% stigmatisent le coût des charges liées à l’embauche tandis que 41% d’entre eux font état d’une activité insuffisante. Ces aspects financiers étaient d’ailleurs au programme du rapport remis à Christian Poncelet, Président du Sénat. Rapport qui préconisait l’adoption de plusieurs mesures pour améliorer le financement des jeunes entreprises en France, et plus précisément des entreprises innovantes. Etaient mentionnées notamment le respect des engagements pris par les assureurs d’investir 6 milliards d’euros dans les PME d’ici à 2007, l’incitation des patrimoines privés les plus importants à rester en France et à contribuer au développement des jeunes pousses, l’amélioration et la coordination des dispositifs d’identification des jeunes entreprises innovantes finançable par le capital-risque ou l’encouragement aux marchés financiers à développer des actions dédiées aux entreprises innovantes. <br /> <br /> <br /> LExpansion.com
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