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presidentielles 2007 , 2012 et 2017
22 février 2007

Les mensonges des candidats pour 2007 à 2012

Mensonges et promesses électorales
2,5% de croissance minimum pour financer le projet du PS? Qui peut y croire?
50 Milliards de dépenses et 15 miliards d'économie , où??? et surtout COMMENT?

 

Les     chiffres du PS viennent à peine d' être communiqués, que la polémique    justifiée s'empare du débat.

Chacun peut croire ce qu'il veut, mais qui peut croire à de telles balivernes?

les imbéciles heureux, les béats ignares des impératifs de l'économie qui par définition concerne    la manière d'effectuer des économies pour ensuite les redéployer vers des choix  justifiés et crédibles.

Nous avons le sentiment que certains oublient qu'en bonne économie

avant de déployer selon des choix qui eux sont acceptables

il CONVIENT d'abord d'économiser c'est à dire de mettre de côté les moyens nécessaires à ses choix mêmes indispensables.

ARTICLE expansion.com

"Besson claque la porte en mettant en cause le chiffrage

L'ancien chiffreur du contrat présidentiel de Ségolène Royal a démissionné mercredi du parti et affirme que le coût des programmes est sous-estimé. Et ce au moment où le PS précise sa copie.

Au PS, on a, depuis le début de la semaine, plusieurs motifs de satisfaction.

Forte audience lundi soir sur TF1,

grosse affluence le lendemain au meeting de Rennes, qui a draîné plus de 10.000 personnes,

et, pour finir, le premier sondage positif depuis longtemps. Réalisée au lendemain de l'émission "J'ai une question à vous poser", lenquête CSA pour Le Parisien et i-Télé voit Ségolène Royal arriver en tête au 1er tour avec 29% (+2) des intentions de vote, tandis que Nicolas Sarkozy perd 5 points à 28%. Au second tour, celui-ci l'emporterait avec 51% des voix contre 49% à sa concurrente PS.

Une ombre reste néanmoins au tableau: Eric Besson, a fait savoir mercredi matin qu'il rendait sa carte du PS après avoir abandonné la semaine dernière, avec fracas, son poste de responsable du secteur économique du parti.

Il justifie son départ en mettant en cause des "proches" de Ségolène Royal, et affirme avoir été "victime d'attaques personnelles indignes".

Eric Besson explique en outre qu'il "n'adhère pas à la façon dont est conduite la campagne" de la candidate PS. Il affirmait mercredi matin sur Europe 1: "Depuis trois mois, je vois que la campagne est mal orientée, mal organisée, qu'elle se déroule mal", a-t-il expliqué.

Eric Besson semble avoir été entendu sur ce point, puisque Ségolène Royal doit annoncer jeudi une réorganisation de son équipe de campagne.

Sur le chiffrage, en revanche, objet de ses dissensions avec François Hollande,

Eric Besson a marqué une distance tout nouvelle, affirmant sur Europe 1:

"Un chiffrage ne vaut rien tant que vous ne dites pas exactement quelles sont les données sur lesquelles il est fondé".

Et de reconnaître que "tous les partis, tous les candidats, sous-estiment actuellement leur chiffrage". Une déclaration qui n'a pas empêché le Parti socialiste d'affirmer à nouveau mercredi que le "coût net" du Pacte présidentiel de sa candidate s'élève à 35 milliards d'euros.

Rendu public mercredi, le document officiel du PS affiche un coût brut estimé à 50 milliards d'euros,

en partie compensé par 15 milliards d'euros d'économies et de redéploiements. Aucune baisse d'impôts n'est prévue: les prélèvements obligatoires (charges et taxes) seront maintenus sur la période à 44% du PIB.

Les dépenses seront "maîtrisées", avec une hausse en volume de 1,26%, ont souligné les nouveaux chiffreurs du programme, Michel Sapin et Didier Migaud.

Le chiffrage est basé sur une prévision de croissance annuelle de 2,5% du PIB à partir de 2008.

Si la conjoncture n'est pas aussi bonne que prévue, "nous ajusterons les promesses", car "nous ne voulons pas d'une hausse de la dette et des prélèvements obligatoires", a souligné, quant à lui, François Hollande.

Les principaux postes de dépenses sont: l'augmentation du

budget de la recherche (proposition la plus coûteuse, à 5,3 milliards),

la loi de programmation pour les universités (5 milliards),

les "emplois tremplins" (4,5 milliards),

le renforcement des moyens de la justice (4,5 milliards) et

de l'éducation nationale (3,4 milliards),

et le revenu de solidarité active (3 milliards).

La revalorisation de 5% des petites retraites est évaluée à 2 milliards

, tout comme la création de la "sécurité sociale professionnelle"

ou le droit à la formation et à la reconversion pour les salariés.

Le coût de la hausse du SMIC à 1.500 euros à horizon 2012 est de moins de 2 milliards.

Les 15 milliards d'économies prévues par le programme seront faites sur

les "subventions inutiles" (5 milliards),

une "rationalisation" des administrations,

et des gains d'efficacité sur la formation professionnelle (2 milliards). "

Guéguerre du chiffre
Lire >> .

"Le chiffrage, c'est la pensée unique"

L'OFCE . Lire >>

L

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