LES CHANTIERS URGENTS de la réforme
Quels sont les chantiers URGENTS de la réforme 1/ La relance de la croissance dossier prioritaire 11/ Recherche de marchés pour les grands groupes inconvénients; Résultats à 4ou 5 ans Bénéfices qui vont aux propriétaires de ces sociétés qui majoritairement sont des étrangers 12/ Un plan de relance des PME à l'export Bénéfices à attendre au mieux dans 5 ans Conditions préaliables: Modifier le code du travail pour simplifier les licenciements (sinon pas d'embauche) Sécuriser les parcours des salariés hors entreprises (coûts très élevés 10 milliards d'euros) Politique d'accompagnement EFFICACE à créer Fiscalité simplifiée pour permettre le regroupement des PME (allégement total de charges pour l'export) Accompagnement gratuit à l'export Accompagnement juridique Accompagnement marketing et commercial Accompagnement dans l'implantation Accompagnement financier (bancaire prêts) inconvénient les coûts: Transfert des 20 milliards d'euros d'aides aux grands groupes vers les PME création d'un service civique pour les jeunes de 18 à 24 ans axé sur un séjour à l'international pendant un an. (coût 3 à 4 milliards d'euros) 13/ L'aide à la création d'entreprises et à la survie de celles qui ont moins de 5 ans Accompagnement spécifique gratuit Mise en place d'une véritable banque d'entreprises exclusivement dédiée à la création des entreprises Banque qui pourrait être alimentée par les sommes de l'ISF qui seraient desficalisées si engagées dans cette banque. 2/ le dossier de la participation salariale enfin mis en application idée généreuse élaborée par la resistance mais toujours refusé en France par le patronat et le PCF (à préciser) Si le capitalisme est la moins pire des solutions pour créer le maximum de richesses, associer les salariés aux dividendes de leurs entreprises en leur accordant au moins 15 à 25% du capital de leurs sociétés. cette idée déjà mise en applicatiopn dans de nombreuses sociétés, permettrait d'augmenter les revenus des salariés et ainsi de modifier le glissement des 10% des salaires vers les dividendes des actionnaires. 3/ Le dossier des universités et de la recherche dédiée aux entreprises et à l'emploi. 4/ Le dossier des réformes institutionnelles 5/ Le dossier de la politique de DEFENSE du pays (le budget de la défense assure plus de 60% des dépenses en équipements de l'état et finance plus de 4 milliards d'euros en recherche développement) Toute diminution de son budget se repercuterait immédiatement sur ces crédits, car la déflation des effectifs évoquée ne se réalisera au mieux que dans 4 ou 5 ans. 6/ La réforme de l'état (comme conséquence et non comme condition) l'objectif étant de réduire de deux millions de postes de fonctionnaires recrutés depuis 1981 à crédit car l'état ne peut les payer depuis cette date sans recours aux crédits (25% de la totalité de son budget annuel) Cette reforme qui porte en germe la contestation sociale de la majorité des syndiqués en France (ils ne sont que 6% dans les entreprises du privé) ne pourra se réaliser qu'avec beaucoup de temps c'est à dire autant qu'il a été necessaire pour séséquilibrer les comptes de l'état soit 15 à20 ans. Toute précipitation se traduirait par une véritable révolution. Cette reforme ne peut être conduite non pas frontalement mais par exctinction de la ressource en recrutement Ceci n'est possible qu'à la condition que le privé soit en mesure de créer les 7 à 8 millions d'emplois nécessaires à ce glissement. Toutes les autres approches relèvent de l'utopie et du mensonge. RAPPEL des deux dernières notes publiées: L'Heure des choix Pâques sous la neige, le retour aux réalités et à la froidure de ce qui attend la France et l'Europe au cours des prochains mois. La grogne des Français en particulier l'abstention massive de l'électorat du président marque une nouvelle ère pour les deux années à venir. Certes le PS avec une mobilsation complète de son électorat a remporté les dernières élections locales mais pour quoi faire? c'est à cette question que tous devront répondre Gauche et droite. Notre ancien premier ministre Lionel JOSPIN dresse une fiche de route pour son parti et sans être devin son choix se porte tout naturellement sur Bertrand DELANOE comme le confirme son ami de toujours Claude ALLEGRE. La gauche et surtout le PS doivent comme avec MITTERAND se choisir immédiatement un Chef de file autour du quel pourra alors se construire un nouveau programme en phase avec les réalités non pas seulement de la FRANCE mais de l'Europe et surtout du monde. Toute victoire locale ne peut avoir de sens sans une victoire au niveau national objectif existentiel de tout parti politique. Ce choix imposé de Bertrand DELANOE qui repose sur sa capacité reconnue à exercer le pouvoir à Paris, aura pour conséquence un retour à l'alliance des partis de gauche et le rejet du MODEM sur le plan tactique tout en recherchant son électorat seul capable de traduire une victoire dans les urnes en 2012. François BAYROU a encore de beaux jours devant lui, car il représente seul la victoire en 2012, que cre soit pour la gauche mais également pour la droite. Pour notre président il dispose de deux ans pour trouver enfin les premiers effets de ses réformes. la conjoncture internationale mais plus encore la montée de l'inflation à plus de trois ou quatre points en 2008 ne facilitera pas le travail avec une croissance atone sans doute bien inférieure aux 1,5% corrigés d'aujourd'hui. Toute politique économique ne peut avoir de résultats qu'après trois ou quatre ans. les FRANCAIS pourront ils attendre ce temps nécessaire? la réponse est limpide NON pour les 10 millions de nos compatriotes qui sont déjà en dessous du seuil de survie. Il faudra donc très vite trouver des correctifs à la situation. 1/ s'attaquer aux effets pervers du capitalisme boursier: sans doute en revenant aux thèses des résistants et à la participation citoyenne réclammée déjà en son temps par le général DE GAULLE. Comment associer les salariés aux bénéfices de leurs entreprises et corriger la fuite de 10% de notre PNB des salires vers les dividendes de nos sociétés. Seule la loi le permettra mais cela aura sans doute de lourdes conséquences. D'une part parceque les sociétés du CAC 40 ont déjà partiellement (à plus de 50%) été vendues à des fonds de pensions anglo saxons par la Gauche en 1982. Que cette loi serait contraire aux loi Européennes et de la communauté mondiale. imagine t on les actionnaires US qui attendent leurs retraites accepter que leur propriétés soient piratés par la FRANCE? l'autre conséquence immédiate d'une telle loi serait la délocalisation définitive de l'ensemble des sièges sociaux de ces entreprises. la majorité l'ont déjà ralisé, les quelques unes qui ne l'ont pas encore fait comme TOTAL seraient alors contraintes de le faire en privant alors l'état de tout impot si nécessaitre aux paiement des chèques signés pour 50 ans par la gauche depuis 1982 (en particulier les salaires de 5 millions et demi de fonctionnaires dont près de 2 millions ont été recrutés depuis cette date) 2/ l'autre piste concernera les PME qui seules depuis 20 ans sont en mesure de créer de surplus de richesse si nécessaire au PAYS. dans ce cas également les risques d'échec sont gtrands. Si l'état ne met pas en place très rapidement une politique globale d'accompagnement de nos PME ce seront les jeunes patrons eux mêmes qui quitteront la FRANCE avec les effets connus. sans patron plus d'entreprise, plus de travail et plus d'impôt à verser et donc plus de rentrée fiscale pour payet les salaires des fonctionnaires. cette réforme débutera avec les correctifs du code du travail. Le licenciement doit être autorisé en fonction des choix de celui qui crée les emplois. sans inscrire ceci dans le marbre de la loi les petits patrons n'embaucheront comme ils le font depuis 20 ans qu'avec des CDD et souvent avec le refus des commandes pour ne pas avoir à embaucher. (embauche qui poserait problème avec une baisse des commandes et les, licenciements) 96% des entreprises françaises comptent moins de 20 salariés, nous somme loin dans le réel des entreprises du CAC 40, la réalité des travailleurs du privé en FRANCE concerne ces petites structures dont 93% comptent moins de 9 salariés, 87% moins de 4 et 67% qui ne disposent que du seul crétaur de l'entreprise. Ces entreprises trop petites pour aboder l'export doivent pouvoir avec des incitations fiscales pouvoir se regrouper afin de disposer du minimum de cadres suffisant. Elles devront alors GRATUITEMENT disposer des aides de structures mises en place par l'état pour les accompagner à la conquête de nouveaux marchés là où nos entreprises du CAC 40 font fortune. (100 milliards d'euros de bénéfice en 2007 et sans doute autant en 2008) les coûts engendrés pouraient être financés par le transfert des 20 milliards d'euros accordés en allégements de charges aux grandes entreprises qui pourtant dégagent des résultats incroyables et financent les retraites de nos amis US. Cette aide devra être gratuite et entierement piloté par des organismes qui ren aucun cas devront être armés patr des fonctionnaires. Comme au JAPON et en ALLEMAGNE ces tructures deront être sous contrôle du privé même si des organismes étatiques y contribuent. La FRANCE doit impérativement faire croître ses richesses, une augmentation des impôts est impossible avec 53% de prélèvements obligatoires. Elle devra cependant prendtre en compte la réalité sociale des 10 millions des plus pauvres qui ont déjà franchi la limite du tolérable. Elle devra tenir compte de la crise financière dont les effets prévisibles ne sont pas de bonne augure. Sa seule chance consistera à accroître les parts du gateau en allant chercher les ventes pour nos PME à l'export. La réforme de l'état avec en clair la suppression d'un millionet demi de fonctionnaires ne poiurra s'envisager qu'une fois la politique d'accompagnement des PME réussie (si elle est mise en place) Le transfert des bénéfices de toutes les entreprises (participation) permettrait déjà d'augmenter imméditement les revenus de ceux qui ont un travail. Les décisions et la lisibilité des réformes qui seront entrprise au cours des prochaines semaines donnera l'éclairage dont ont besoin tous les FRANCAIS. les mois qui viennent seront cruciaux pour la FRANCE, allons nous enfin sortir de l'ornière? Que proposent de concret les partis politiques pour relancer la croissance? Les municipales s'achèvent avec un goût d'amertume. Les Français ne sont pas satisfaits et sont de plus en plus inquiets face à l'avenir. le Thème essentiel de la dernière campagne présidentielle a finalement porté sur le pouvoir d'achat. Souhaiter la résultante d'une action n'explique en rien le comment pour y parvenir. L'avenir économique de la FRANCE est paralysé par les chèques en blanc signés par la Gauche et le PS depuis 1982 avec un recrutement massif de fonctionnaires effectué pour pallier la mise en faillite de trop nombreuses entreprises. (2 millions de pertes d'emplois privés consécutives à l'interdiction de liceciement dans les entreprises) L'état Français depuis cette date ne dispose pas suffisement de fonds pour payer les salaires de ses trois fonctions publiques et doit en conséquence vivre à crédit (25% de son budget depuis 1982) Ces réalités sont connues aujourd'hui du grand public et la mise en place des 35h00 par lionel JOSPIN a aggravé ce déficit avec près de 30 milliards d'euros versés chaque année pour combler le manque à gagner dans les grandes entreprises essentiellement. En clair payer les entreprises pour que les salariés travaillent MOIN? Aides d'ailleurs qui ne bénéficient qu'aux plus grandes sociétés et de manière marginale aux PME qui sont les seules créatrice d'emplois dans notre Pays. Ces faits sont incontestables et avec un prélévement de plus de 54% de l'ensemble des richesses du pays, il n'existe aucune marge de manoeuvre pour un gouvernement qu'il soit de droite ou de gauche. (tous les autres pays européens ont réduit ces dépenses à moins de 47% et même 45% pour l'allemagne avec certes la perte du pouvoir pour la Gauche Allemande qui a conduit avec beaucoup de courage ces réformes) Que proposent les partis politiques? La Gauche préconise de mieux répartir les richesses du Pays en taxant encore plus les entreprises. La Droite voudrait créer les conditions d'un retour à l'équilibre de nos dépenses publiques sans s'attaquer de front à la réduction du nombre de fonctionnaires. Ces deux attitudes sont suicidaires et non applicables en France dans la situation dégradée de nos équilibres. Les deux points de vue sont défendables en se plaçant dans une vision étriquée des réalités. En effet suivre les demandes de la gauche même si elles sont acceptables du point de vu social, trop de Français (10 millions environ) ne disposent plus du minimum vital pour survivre) seraient catastrophiques. 54% de prélèvements obligatoires sont un maximum intenable. La conséquence serait alors la fuite non pas des entreprises mais des patrons des PME eux-mêmes. La délocalisation de l'ensemble des sièges des grandes multinationales (déjà entreprise) deviendrai totale également avec l'asséchement total des rentrée fiscale.
Or sans patron, il n'y a plus d'entreprise, donc plus d'emploi et surtout plus de rentrée fiscale pour payer les salaires des fonctionnaires. Ce serait la faillite totale du pays. Ceci est inconcevable. Se limiter aux recommandations actuelles de la droite serait porteur des conditions d'une véritable révolte. Si la réduction des effectifs de la fonction Publique sont la condition sine qua non du retour à l'équilibre des finances publiques , l'entammer sans avoir créer les conditions de création d'emplois de substitution dans le privé se traduirait alors par la mise au chômage de plusieurs millions de personnes, ceci est tout aussi inconcevable. Il ne reste donc qu'une seule possibilité. Créer les conditions réelles d'une augmentation des richesses. Ces nouvelles richesses qui reposent avant tout sur la vente de nos produits made in France à l'export. c'est sur cette seule politique que nous pourrons très vite comprendre si le pouvoir en Place est capable de faire face aux défis. Si les grands groupes du CAC 40 ont déjà été cédés depuis 1982 à des fonds de pensions étrangers, le gouvernement ne pourra s'appuyer que sur l'accompagnement des PME françaises. Il devra pour ce faire faciliter avec les syndicats les conditions de licenciement au sein de ces petites entreprises qui constituent la quasi totalité de notre écobnomie (96% comptent moins de 20 salariés et 93% moins de 9) motif essentuiel aujourd'hui de non trecrutement autre qu'en CDD. Il devra modifier la fiscalité de ces PME pour leur permettre d'acceder à l'export. Il devra toujours avec une fiscalité volontaire aboutir à des regroupement de PME pour leur permettre d'atteindre la taille critique pour aborder l'export. il devra surtout mettre en place des structures privées et surtout pas d'état pour accompgner nos PME à l'export comme le pratiquent avec succès depuis plus de 30 ans l'Allemagne ou le JAPON. ce ne sera qu'en augmentant la part du gateau national que l'état se donnera demain les vconditions de répondre à ses multuiples défis. 1/ donner un emploi privé à 7 millions de personnes supplémentaires (2 millions de fonctionnaires de trop, 2 millions de chômeurs (BIT), 3 millions de temps partiels et création d'un million de PME de plus que compte la France aujourd'hui) 2/ Porter le salaire minimum ou mieux les plus bas revenus à 2000€ nets mensuels comme en SUISSE 3/Réaliser la réorganisation de l'état par obligation avec le manque de deux millions de fonctionnaires, réalisé non pas par licenciement mais par manque de recrutement. les mois qui viennent nous donneront un éclairage sur la volonté politique du gouvernement ainsi que sur le programme de la gauche qui devra être en phase avec les réalités du monde.