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presidentielles 2007 , 2012 et 2017
25 mars 2008

LES CHANTIERS URGENTS de la réforme

 

Quels  sont  les  chantiers URGENTS  de la réforme

1/    La relance  de la croissance   dossier prioritaire

    11/    Recherche  de marchés  pour  les grands groupes

        inconvénients;

             Résultats  à 4ou 5 ans

             Bénéfices  qui  vont  aux propriétaires  de ces  sociétés  qui

             majoritairement  sont  des  étrangers

       12/     Un  plan  de relance  des PME  à l'export

            Bénéfices  à attendre  au mieux  dans 5  ans

            Conditions préaliables:

                Modifier le code  du travail pour simplifier  les licenciements (sinon pas d'embauche)

                Sécuriser  les  parcours  des salariés hors entreprises  (coûts  très élevés  10 milliards d'euros)

            Politique  d'accompagnement EFFICACE  à créer

                Fiscalité  simplifiée  pour permettre  le regroupement  des PME  (allégement  total  de charges

                pour l'export)

                Accompagnement  gratuit  à l'export

                Accompagnement juridique

                Accompagnement  marketing  et commercial

                Accompagnement  dans l'implantation

                Accompagnement  financier  (bancaire  prêts)

                inconvénient  les  coûts:

                    Transfert  des 20 milliards  d'euros  d'aides  aux grands groupes  vers  les PME

                    création  d'un service civique  pour  les jeunes  de 18 à 24  ans axé  sur un séjour  à

                    l'international  pendant un an.  (coût 3 à 4 milliards d'euros)

        13/    L'aide  à la création  d'entreprises  et  à la survie  de celles  qui ont moins  de 5 ans

            Accompagnement  spécifique  gratuit

            Mise  en place  d'une véritable  banque  d'entreprises  exclusivement dédiée  à la création  des entreprises

            Banque  qui pourrait être  alimentée  par  les  sommes  de l'ISF  qui seraient desficalisées  si   engagées  dans  cette banque.

       2/     le dossier  de la participation  salariale  enfin  mis  en application

        idée généreuse  élaborée  par  la resistance  mais  toujours refusé  en France  par  le patronat  et le PCF  (à  préciser)

        Si  le capitalisme  est la moins pire  des solutions  pour créer  le maximum  de richesses, associer  les salariés  aux dividendes  de leurs   entreprises  en leur accordant au moins 15 à 25%  du capital  de leurs sociétés.

        cette idée  déjà mise  en applicatiopn  dans  de nombreuses  sociétés, permettrait  d'augmenter  les  revenus  des salariés  et ainsi  de modifier  le glissement  des 10%  des salaires  vers  les dividendes  des actionnaires.

      3/      Le dossier  des universités  et de la recherche dédiée  aux entreprises  et à l'emploi.

      4/      Le dossier  des réformes institutionnelles

      5/      Le dossier  de la politique  de DEFENSE  du pays (le budget  de la défense  assure plus  de 60%  des dépenses  en équipements  de l'état  et finance plus  de 4 milliards d'euros  en recherche développement)

        Toute  diminution  de  son budget  se repercuterait immédiatement  sur  ces  crédits, car  la déflation  des effectifs  évoquée ne se réalisera  au mieux   que  dans 4 ou 5  ans.

       6/    La réforme  de l'état  (comme conséquence  et non comme condition)

        l'objectif  étant  de réduire  de deux millions  de postes  de fonctionnaires  recrutés  depuis 1981 à crédit  car l'état  ne peut  les payer depuis cette date  sans  recours  aux crédits  (25%  de la totalité  de son budget annuel)

    Cette reforme  qui porte  en germe  la contestation  sociale  de la majorité  des syndiqués  en France (ils ne sont  que 6%  dans les entreprises  du privé) ne pourra  se réaliser  qu'avec  beaucoup  de temps  c'est à dire  autant  qu'il a été necessaire  pour séséquilibrer  les comptes  de l'état  soit 15 à20 ans.

    Toute précipitation  se traduirait par  une véritable révolution.

    Cette reforme  ne peut être  conduite  non pas frontalement  mais  par exctinction  de la ressource  en recrutement

    Ceci  n'est possible  qu'à la condition  que  le privé  soit  en mesure  de créer  les 7 à 8 millions  d'emplois nécessaires à ce glissement.

    Toutes  les  autres approches  relèvent  de l'utopie  et du mensonge.

RAPPEL  des  deux dernières notes publiées:

 

 

 

L'Heure  des  choix

Pâques  sous  la neige, le retour  aux réalités et à la froidure  de  ce qui attend  la France  et l'Europe  au cours  des prochains mois.

La grogne  des  Français  en particulier   l'abstention massive  de l'électorat  du président  marque  une nouvelle ère  pour  les  deux années  à venir.

Certes  le PS  avec  une mobilsation  complète  de son électorat  a remporté  les dernières élections locales  mais  pour   quoi faire?

c'est à cette question  que  tous devront répondre  Gauche  et droite.

  Notre  ancien premier ministre Lionel JOSPIN  dresse  une fiche  de route  pour  son parti  et sans être devin son choix  se porte  tout naturellement  sur Bertrand DELANOE  comme   le confirme  son ami de toujours  Claude ALLEGRE.

    La  gauche  et surtout  le PS  doivent  comme  avec MITTERAND  se  choisir  immédiatement  un  Chef  de file  autour  du quel  pourra alors  se construire  un nouveau programme  en phase  avec  les réalités  non pas seulement  de la FRANCE  mais  de l'Europe et surtout  du monde.

  Toute  victoire locale  ne peut  avoir  de sens  sans  une victoire  au niveau national  objectif existentiel  de tout parti politique.

    Ce  choix imposé  de Bertrand DELANOE  qui repose  sur  sa capacité reconnue à exercer  le pouvoir  à Paris, aura pour conséquence un retour à l'alliance  des partis de gauche  et  le rejet  du MODEM  sur le plan tactique  tout  en recherchant  son électorat  seul capable  de traduire une victoire dans les urnes  en 2012.

François BAYROU  a  encore  de beaux jours  devant lui, car il représente  seul la victoire  en 2012, que cre soit pour  la gauche  mais également pour la droite.

Pour notre  président  il dispose  de deux ans pour trouver  enfin  les premiers effets  de  ses réformes. la conjoncture internationale mais plus encore la montée  de l'inflation à plus  de trois  ou quatre points  en 2008 ne facilitera  pas  le travail  avec  une croissance  atone  sans doute bien inférieure  aux 1,5% corrigés  d'aujourd'hui.

Toute politique économique  ne peut  avoir  de résultats  qu'après  trois ou quatre  ans. les FRANCAIS  pourront ils attendre  ce temps nécessaire?

la réponse  est limpide NON  pour  les 10 millions de nos compatriotes  qui sont déjà  en dessous  du seuil  de survie.

Il faudra  donc très vite  trouver  des correctifs  à la situation.

1/ s'attaquer  aux effets pervers  du capitalisme boursier:  sans doute  en revenant  aux thèses  des résistants  et à la participation citoyenne réclammée  déjà  en son temps  par le général DE GAULLE.

Comment associer  les salariés  aux bénéfices  de leurs  entreprises  et corriger  la fuite  de 10%  de notre PNB  des salires  vers les dividendes  de nos sociétés.

    Seule  la loi  le permettra  mais  cela  aura  sans doute  de lourdes conséquences.

D'une  part  parceque  les  sociétés  du CAC 40 ont déjà partiellement  (à plus de 50%)  été vendues  à des fonds de pensions anglo saxons  par la Gauche  en 1982.

    Que cette loi  serait contraire  aux loi Européennes  et de la communauté mondiale.

imagine t on  les actionnaires  US  qui attendent leurs retraites  accepter  que  leur propriétés  soient piratés  par  la FRANCE?

l'autre conséquence immédiate  d'une telle loi  serait  la délocalisation définitive  de l'ensemble  des sièges sociaux  de ces entreprises.

  la majorité  l'ont déjà ralisé,  les  quelques unes  qui ne l'ont pas encore fait  comme TOTAL  seraient alors contraintes  de le faire  en privant  alors l'état  de tout impot  si nécessaitre  aux paiement  des chèques  signés pour  50 ans   par la gauche  depuis 1982  (en particulier  les salaires  de 5 millions  et demi de fonctionnaires  dont près  de 2 millions ont été recrutés  depuis cette date)

2/ l'autre  piste  concernera  les PME  qui seules  depuis 20 ans  sont  en mesure  de créer  de surplus  de richesse  si nécessaire  au PAYS.

dans ce cas également  les risques  d'échec  sont gtrands.

Si l'état ne met  pas  en place très rapidement  une politique globale  d'accompagnement  de nos PME  ce seront  les jeunes patrons eux mêmes  qui quitteront la FRANCE  avec  les effets  connus.

    sans patron plus d'entreprise, plus  de  travail   et plus d'impôt  à verser  et donc plus  de rentrée  fiscale  pour payet les salaires  des fonctionnaires.

  cette réforme débutera  avec  les correctifs  du code  du travail. Le licenciement  doit être  autorisé  en fonction  des choix  de celui qui crée  les emplois.

    sans inscrire  ceci  dans le marbre de la loi  les petits patrons n'embaucheront  comme ils le font depuis 20 ans  qu'avec  des CDD  et souvent  avec le refus  des commandes  pour ne pas avoir  à embaucher.

(embauche  qui poserait problème  avec  une baisse  des commandes  et les, licenciements)

    96%  des entreprises  françaises  comptent  moins de 20 salariés, nous  somme  loin  dans le réel  des entreprises  du CAC 40, la réalité  des travailleurs  du privé en FRANCE   concerne  ces  petites structures  dont 93% comptent moins  de 9 salariés, 87% moins de 4  et 67%  qui ne disposent  que  du seul crétaur  de l'entreprise.

    Ces  entreprises  trop petites  pour aboder l'export  doivent pouvoir  avec  des incitations fiscales  pouvoir se regrouper  afin de disposer  du minimum  de cadres suffisant.

    Elles  devront alors GRATUITEMENT  disposer  des  aides  de structures  mises  en place  par l'état  pour  les accompagner à la conquête  de nouveaux  marchés  là où nos entreprises  du CAC 40  font fortune. (100 milliards d'euros  de bénéfice  en 2007  et sans doute autant  en 2008)

    les  coûts  engendrés  pouraient être financés  par le transfert  des 20 milliards d'euros accordés  en  allégements  de charges   aux  grandes  entreprises  qui pourtant dégagent  des résultats  incroyables  et financent les retraites  de nos amis  US.

    Cette aide  devra  être  gratuite  et entierement piloté  par  des organismes  qui ren aucun cas  devront être armés  patr  des fonctionnaires.

    Comme au JAPON  et  en ALLEMAGNE  ces tructures  deront être  sous contrôle  du privé même  si  des organismes étatiques  y contribuent.

  La  FRANCE  doit impérativement  faire croître  ses  richesses, une augmentation  des impôts  est impossible  avec 53%  de prélèvements obligatoires.

    Elle devra  cependant  prendtre  en compte  la réalité  sociale  des 10 millions  des plus pauvres  qui ont déjà franchi  la limite  du tolérable.

    Elle devra tenir compte  de la crise financière  dont  les effets prévisibles ne sont pas de bonne augure.

    Sa seule  chance  consistera  à accroître  les parts  du gateau  en allant  chercher  les ventes  pour nos PME  à l'export.

    La réforme  de l'état  avec  en clair  la suppression d'un millionet demi  de fonctionnaires  ne poiurra s'envisager  qu'une fois  la politique  d'accompagnement  des PME réussie  (si elle est mise  en place)

    Le transfert  des bénéfices  de toutes les entreprises  (participation)  permettrait déjà d'augmenter  imméditement  les revenus  de ceux  qui ont un travail.

    Les décisions  et   la lisibilité  des  réformes  qui seront entrprise  au cours  des prochaines semaines  donnera l'éclairage  dont ont besoin tous les FRANCAIS.

  les mois  qui viennent  seront cruciaux  pour  la FRANCE, allons nous  enfin  sortir  de l'ornière?

   

Que  proposent  de concret  les  partis politiques  pour relancer la croissance?

Les municipales s'achèvent  avec  un goût d'amertume. Les  Français  ne sont pas satisfaits et sont  de plus en plus inquiets face à l'avenir.

  le Thème  essentiel  de la dernière campagne présidentielle a finalement porté  sur le pouvoir d'achat.

Souhaiter  la résultante  d'une action n'explique  en rien  le comment pour  y parvenir.

L'avenir économique  de la FRANCE  est paralysé  par  les chèques  en blanc  signés  par la Gauche  et le PS  depuis 1982  avec un recrutement massif  de fonctionnaires  effectué  pour pallier la mise  en faillite  de trop nombreuses  entreprises. (2 millions  de pertes  d'emplois  privés  consécutives à l'interdiction  de liceciement  dans les entreprises)

L'état Français  depuis cette date ne dispose  pas suffisement  de fonds  pour payer  les salaires  de ses trois fonctions publiques  et  doit  en conséquence vivre à crédit  (25%  de son budget depuis 1982)

    Ces  réalités  sont connues  aujourd'hui  du  grand public  et  la mise  en place  des 35h00  par lionel JOSPIN  a aggravé  ce déficit  avec  près  de 30 milliards  d'euros  versés  chaque  année  pour  combler le manque à gagner  dans  les  grandes  entreprises  essentiellement.

    En  clair  payer  les entreprises  pour  que  les salariés travaillent MOIN? Aides  d'ailleurs  qui ne bénéficient  qu'aux  plus grandes sociétés  et de manière marginale  aux PME  qui sont les seules  créatrice d'emplois  dans notre Pays.

    Ces  faits  sont incontestables  et avec un prélévement  de plus  de 54%  de l'ensemble  des richesses  du pays, il n'existe  aucune marge  de manoeuvre  pour  un gouvernement  qu'il soit  de droite  ou de gauche. (tous  les   autres pays européens ont réduit  ces dépenses  à moins  de 47%  et même 45%  pour l'allemagne  avec  certes  la perte  du pouvoir  pour  la Gauche Allemande  qui a conduit  avec beaucoup  de courage  ces réformes)

Que  proposent  les  partis politiques?

  La Gauche  préconise  de mieux répartir  les richesses  du Pays  en taxant  encore plus  les entreprises.

  La Droite  voudrait créer  les conditions  d'un retour  à l'équilibre  de nos dépenses publiques  sans s'attaquer  de front à la réduction  du nombre  de fonctionnaires.

Ces  deux attitudes  sont suicidaires  et non applicables  en France  dans la situation  dégradée  de nos équilibres.

    Les  deux points  de vue  sont défendables  en se plaçant  dans une vision étriquée  des réalités.

  En effet  suivre  les demandes  de la gauche même  si elles  sont acceptables  du point  de vu  social, trop  de Français (10 millions  environ) ne disposent plus  du minimum vital  pour survivre) seraient catastrophiques. 54%  de prélèvements obligatoires  sont  un maximum intenable. La conséquence  serait  alors  la fuite non pas  des  entreprises  mais  des patrons  des PME  eux-mêmes.

    La délocalisation  de l'ensemble  des  sièges  des grandes multinationales  (déjà  entreprise) deviendrai totale également  avec l'asséchement  total  des  rentrée fiscale.

Or  sans patron, il n'y a plus d'entreprise, donc plus  d'emploi  et surtout plus de rentrée fiscale  pour payer les salaires des fonctionnaires.

  Ce serait  la faillite  totale  du pays.  Ceci  est inconcevable.

Se limiter  aux recommandations  actuelles  de la droite  serait porteur  des conditions d'une véritable révolte.

  Si la réduction  des  effectifs  de la fonction Publique sont la condition sine qua non  du retour à l'équilibre des finances publiques , l'entammer  sans avoir créer  les conditions  de création  d'emplois de substitution  dans le privé se traduirait  alors  par la mise  au chômage  de plusieurs millions de personnes, ceci  est tout aussi inconcevable.

Il ne reste donc  qu'une seule possibilité. Créer  les conditions réelles  d'une augmentation  des richesses. Ces nouvelles richesses  qui reposent avant   tout  sur la vente  de nos produits made in France à l'export.

  c'est  sur  cette seule politique  que nous pourrons très vite  comprendre  si  le pouvoir  en Place  est capable  de faire face  aux défis.

  Si  les  grands groupes  du CAC 40  ont déjà été cédés depuis 1982  à des fonds de pensions étrangers, le gouvernement  ne pourra  s'appuyer  que  sur l'accompagnement  des PME  françaises.

Il devra  pour ce faire faciliter   avec les syndicats   les conditions  de licenciement  au sein  de ces petites entreprises  qui constituent la quasi totalité  de notre écobnomie (96%  comptent moins  de 20 salariés  et 93% moins  de 9) motif essentuiel  aujourd'hui  de non trecrutement  autre  qu'en CDD.

Il devra  modifier  la fiscalité  de ces PME  pour leur permettre  d'acceder à l'export.

Il devra toujours  avec une fiscalité  volontaire aboutir  à des regroupement  de PME  pour leur permettre d'atteindre la taille critique  pour aborder l'export.

il devra  surtout mettre  en place  des structures  privées  et surtout pas  d'état  pour accompgner  nos PME  à l'export  comme le pratiquent  avec succès depuis plus de 30 ans l'Allemagne  ou le JAPON.

ce ne sera  qu'en augmentant  la part  du gateau national  que l'état  se donnera demain  les vconditions  de répondre  à ses multuiples défis.

1/ donner  un emploi privé  à 7 millions  de personnes supplémentaires (2 millions de fonctionnaires  de trop, 2 millions de chômeurs  (BIT), 3 millions de temps partiels et création d'un million de PME  de plus  que compte la France aujourd'hui)

2/ Porter  le salaire  minimum ou mieux  les plus bas revenus à 2000€ nets mensuels  comme  en SUISSE

3/Réaliser  la réorganisation  de l'état  par obligation  avec  le manque  de   deux millions  de fonctionnaires, réalisé non pas  par licenciement  mais  par manque  de recrutement.

  les mois  qui viennent  nous donneront  un éclairage  sur  la volonté  politique  du gouvernement  ainsi  que  sur  le programme  de la gauche  qui devra être  en phase  avec  les réalités  du monde.

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