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presidentielles 2007 , 2012 et 2017
2 avril 2008

La poule aux oeufs d'or existe en France

 

Les  entreprises  du CAC 40  démontrent  par leurs résultats  élogieux  et  leurs bénéfices fabuleux  que  la FRANCE  peut réussir dans la mondialisation  car  ses  grandes  entreprises multinationales  en  sont plus  que capables.

Comme  nous  ne disposons  plus  assez  de richesses  avec déjà 54%  de prélèvements obligatoires  dans notre  pays, il ne reste  qu'une seule alternative: Produire  plus  pour gagner plus.En clair créer plus de richesses.

Une  fois  que  nous  avons dit  cela

que  faut il faire  et  que pouvons nous faire?

La France contrairement  à tous ses voisins a confondu (volontairement) depuis  des  années Entreprises  et  grandes  entreprises. ( causes  de la victoire  en 1981 lutte  contre  toutes les formes  du capitalisme)

Pour des raisons idéologiques certains partis  ont volontairement amalgamé petites  entreprises  et  celles  qui appartiennent  au CAC 40.

Le profiteur idéologique  c'est  avant  tout  le patron  présenté  comme un exploiteur  du peuple.

Seules  les petites  entreprises n'ont pu jusqu'à aujourd'hui quitter  le territoire national.

Les  grandes  entreprises  du CAC 40  ont été partiellement vendues  par la gauche  au pouvoir  de 1981 à 1986 par l'ouverture  du capital  de ces grandes sociétés nationales:  de  ce fait  les bénéfices générés  par  ces multinationales  servent  partiellement  à payer les retraites  de nombreux  Américains ( soit 50%  des dividendes  distribués  aux actionnaires :21 milliards d'Euros  en 2007, soit l'équivalent  de 14 millions de  Smic)

La  FRANCE  ne compte  que 16 millions d'emplois  privés  seulement, mais 5,5 millions  de fonctionnaires, 1,5 millions d'emplois associatifs rémunérés  par l'impôts  et 2 millions  de chômeurs, un million  de REMISTES  pour  un total  de 26 millions  de travailleurs potentiels.

Sur  le 16 millions d'emplois privés, plus  de 3 millions concernent  des temps partiels  souvent imposés  qui concernent à plus  de 80%  des femmes (en charge  d'enfants  et trop souvent seules)

Comme la France  compte environ 3 millions d'entreprises, 3 millions  de ces  emplois  sont également assurés  par  de tout petits  patrons  exploiteurs  du peuple.

En effet 98%  de nos entreprises  comptent  moins  de 50  salariés,

avec 96%  moins  de 20,

93% moins  de 9,

87%  moins  de 4 

et 67%  sans salarié  si ce n'est  le tout petit patron lui même.

Dans  ces  conditions même  un élève  de CM2  (s'il sait  lire  et compter) peut comprendre  que  notre  pays n'est plus  dans une situation équilibrée.

En effet  en 1981,  en interdisant  tout licenciement  aux petites entreprises  française  elles ont été acculées à déposer le bilan  tout en détruisant  par la volonté  du gouvernement  de l'époque  près  de deux millions d'emplois privés. (pertes d'emplois compensées alors  par  des recrutements  massifs  de fonctionnaires  à crédit, 25%  du budget  de l'état)

Notre  salut  réside  uniquement  donc  dans le correctif  de mesures idéologiques  prises depuis 1981.

Seules  les PME  pourront demain  répondre à cette demande  de création  de richesses  du fait même  que NOS GRANDS GROUPES même s'ils sont  PERFORMANTS ONT déjà à plus de  50 %  été vendus  à des fonds  de pensions US.

Corriger  les erreurs  est  le fondement  de cette rupture  tant attendue  par  les FRANCAIS.

Depuis un an nous n'en prenons toujours  pas  le chemin, toutes  les mesures prises s'inscrivent malheureusement  dans une logique  fermée, c'est  à dire  sous enveloppe nationale  alors  que  la seule  solution réside  dans la conquête  de nouveaux marchés à l'export.

L'accompagnement  de nos PME  est possible  avec une volonté  politique, mais l'avons nous?

Cet accompagnement  de nos PME  que réclament  tant  de petits  patrons  est possible  en ayant  un coût  important  pour sa mise  en place.

Les moyens financiers existent, 20 milliards  d'euros  sont royalement attribués tous  les  ans aux  grands groupes  (par  la gauche depuis la mise  en place  des 35h00) alors mêmes  que ces entreprises  génèrent  plus  de 100 milliards d'euros  de bénéfice  par an.

L'accompagnement  de  nos PME  necessitera  environ 20 milliards  de dépenses  nouvelles  rendues possible  par le glissement  des dépenses déjà effectuées. (donc  sous enveloppe  avec  des priorités  autres)

Création  d'un nouveau service civique

axé  pour 700 000 jeunes français  chaque année  d'un séjour d'une année à l'étranger, soit trois milliards d'euros.

Création  d'une véritable structure  privée d'accompagnement  des PME  sous la responsabilité  du Seul MEDEF

Elaboration  d'une politique globale  concernant  une fiscalité adaptée, la modification  du code  du travail, la mise  en place  d'une véritable banque  de développement  de nos petites  entreprises innovantes, un partenariat  réel  avec  nos universités.

un milliard  d'exportation  génère 15 000  nouveaux  emplois.

Rappel  d'une note publiée  le 31.03.2007

pacte pour les PME

CREATION D'EMPLOIS;

UN NOUVEAU PACTE POUR LES PME

                       UN NOUVEAU PACTE POUR LES PME FRANCAISES 

         Une réelle prise en compte de la situation économique de notre pays montre à l’évidence un faisceau de faits qui ; s’ils étaient corrigés avec un réelle volonté politique serait de nature à changer drastiquement la donne au sein de notre pays en redonnant aux PME les moyens de rendre leur dignité aux trop nombreux citoyens privés de travail et donc d’avenir.

Nos petites entreprises (moins de dix salariés) qui représentent en proportion plus de 93% du tissus de nos sociétés sont exsangues et donc condamnées à vivoter sans progression notable.  (96% comptent moins de 20 salariés et 98% moins de 50)

Cette situation résulte de plusieurs facteurs qui corrigés libéreraient une montée en puissance de leur créativité et leur activités par des recrutements massifs qui compenseraient alors la majorité des sommes consacrées ce jour au traitement social du chômage qui est de plus en plus restrictif.

           La dignité humaine n’est possible qu’en ayant les moyens de s’assumer seul.

             Mettre dans la loi que le travail est un droit

et empêcher les entreprises d’embaucher est un non sens voire une escroquerie intellectuelle sans nom que subissent dans leurs chairs trop de Français abandonnés. 

     « il ne sert à rien de donner du poisson à celui qui a faim, sa dignité impose de lui apprendre à pêcher,

Le ressentiment à l’égard de ceux qui ne comprennent pas cela porte en germe toutes les rancoeurs que l’autiste ne veut pas entendre.

L’homme n’à que faire d’une charité qui le maintient dans la dépendance, n’oublions jamais cela » 

       La conjoncture économique est telle que l’équilibre de nos activités reste maintenu à son niveau le plus bas depuis plus de trente ans.

           La législation, la fiscalité et l’existence d’une administration tatillonne contraignent les PME à se maintenir à un taux d’activité de survie. Non propice à des recrutements impératifs pour notre pays.

           Le manque d’encadrement des PME françaises est consternant comparativement à tous nos voisins.

Cela résulte d’une part des remarques qui précèdent mais aussi du détournement des compétences liés aux recrutements massifs de notre fonction publique qui absorbe trop de diplômés comparativement aux postes qui leur sont offerts. (Combien de bac plus cinq dans des emplois de secrétaires ?)

           Les petits patrons sont souvent les seuls dans ces petites structures à assumer toutes les fonctions d’encadrement et doivent ainsi répartir les 12 à 15 heures journalières aux trois principales fonctions d’administration de vente et de production. (n'en remplissant  ainsi  aucune  à temps plein)

           Les seuls gisements d’emplois se situent au sein de toutes ces petites entreprises asphyxiées aujourd’hui. 

                                 PROPOSTIONS

           Pour libérer l’emploi, libérons toutes les petites entreprises en les accompagnant avec l’obligation pour elles d’embaucher les personnels nécessaires à leur monté en puissance.

1/ Simplification des procédure de création d’entreprise par un guichet unique

           Il appartiendra à l’administration d’offrir aux futurs créateurs activité tous les services nécessaires en un seul lieu.

           Durée d’inscription à la chambre de commerce en moins de 4 heures comme dans d’autres pays européens. (Y compris l’ouverture de comptes bancaires)

2/ suppression de toute charge pendant les cinq premières années d’activité

3/ suppression de tous les impôts sur les bénéfices éventuels pendant cinq ans

4/ Obligation faite aux créateurs d’offrir 33% du capital de leurs sociétés aux salariés de la société. (Participation salariale)

           Représentation par le délégué syndical qui devra être élu même dans les entreprises de moins de dix salariés

           Cette part du capital appartenant de droit à l’ensemble du personnel présent dans l’entreprise et seulement dans ce cas. (Tout départ de la société n’implique pas de détenir une part de ce capital salarial)

4/ Détachement gratuit d’un Fonctionnaire pendant cinq ans

(Dès la mise en place d’une politique de déflation des effectifs de la fonction publique, ces derniers conservant leur statut jusqu’à leur départ en retraite)

5/ACCOMPAGNEMENT et parrainage obligatoire d’une grande entreprise (plus de 250 salariés)

           Dispositif à mettre en place par le MEDEF

                       Conseils et assistance, ouverture de marchés

           Accompagnement gratuit par la chambre de commerce et le conseil général

                       Formation

                       Conseils

                       Assistance

6/        OUVERTURE des dispositifs à l’export

                       En liaison avec le MEDEF dans le dispositif qui devra être mis en place

               dès la réactivation d'un nouveau service civique qui devrait compter plus de

               100 000 jeunes détachés au sein des PEE  des ambassades

7/ OBLIGATIONS D’EMBAUCHE

                       Un jeune en contrat d’alternance à la création de l’entreprise

                       Un salarié après 8 mois d’exercice et le détachement d’un fonctionnaire (à 5 ans de la retraite)

                       Un nouveau salarié dès que la situation financière de la société le permet

                       (décision prise en commun par tout le personnel)

                       Dette mesure initialement ouverte aux créations de nouvelles entreprises, pourra être étendue à toutes les entreprises de moins de dix salariés par modification des statuts et prise de participation du personnel à hauteur de 33%

                       Les autres PME jusqu’à 100 salariés pourront être concernées dans une seconde phase, après une expérimentation de trois ans si les résultats sont probants.

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