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presidentielles 2007 , 2012 et 2017
25 novembre 2005

le malaise français

                                           LE   MALAISE     FRANÇAIS

            Eléments de réflexion et d’analyse de la situation du pays dans la perspective d’un nouveau contrat social

            Depuis 1995 notre président alors candidat eut l’ingénieuse idée de synthétiser par une phrase le mal vivre que subissait depuis déjà 20 ans le « petit » peuple de France

                                          LA FRACTURE SOCIALE

            Satisfaction des intellectuels qui pouvaient alors mettre un nom et conceptualiser avec suffisance une situation diffuse qui frappait insidieusement notre pays.

            Nommer ce mal devenait en soi suffisant pour cette infime partie des français que sont les élites.

            10 ans se sont déjà écoulés, le mal non seulement subsiste mais empire, si les conséquences sont visibles, si les déchirures de notre société sont des faits acquis, jamais nos élites n’ont su ou voulu donner une explication rationnelle et globale à une situation qui résulte de notre histoire récente des trente dernières années.

            Nous sommes depuis 25 ans dans une impasse. Il faudra beaucoup de courage à nos hommes et femmes politiques pour le reconnaître.

            IDENTIFIER les causes,  EXPLIQUER les raisons qui ont conduit le pays à cette situation n’est pas sans risque pour les leaders politiques, mais n’est ce pas par éthique leur rôle que d’éclairer les décisions mêmes douloureuses qui doivent être prises dans l’intérêt général. De notre NATION ?

            La France est toujours un grand pays. Son poids démographique actuel relativise aujourd’hui cette idée, mais il faut se souvenir de l’histoire millénaire de ce peuple pour comprendre sa place si particulière dans l’histoire du monde actuel.

            Tous les révolutionnaires se sont réclamés  à un titre ou à un autre « du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes »

                        Pour proposer au pays un nouveau deal social en rupture avec le mensonge et non avec l’esprit des lumières ou des révolutionnaires de1789 (ou de 1848). Il faudra élaborer un objectif commun identifiable par chacun qui puisse comprendre ce qui nous a conduit là où nous en sommes aujourd’hui.

                        Il est INDISPENSABLE de dresser une situation sans complaisance aucune, qui précise les blocages et les incohérences que vit notre pays avant même de proposer une solution pour y remédier.

                        Les causes sont multiples et inter agissent entre elles, cependant en se limitant à des faits qui devront être vérifiés nous pouvons dégager plusieurs idées directrices dans la perspective de cette analyse.

                                             FAITS AVERES et à VERIFIER

                        1/   25% de la population active française travaille dans la fonction publique

                        2/  20% de la population active est inscrite à l’ANPE (10% de chômeurs et 10% sans travail mais non chômeurs au sens de la définition du BIT)

                        3/ 10% d’une classe d’âge quitte le système éducatif sans maîtriser la lecture et l’écriture (soit 75 000 jeune français qui seront définitivement écartés du marché du travail)

                        4/   65% d’une classe d’âge atteint le niveau du bac, mais le nombre de bac ex math élem  puis C et enfin S n’a progressé que de moins de 10%   en quarante ans.

                        5/  10% de la population vit sous le seuil de la pauvreté

                        6/ Depuis 1982 le déficit annuel de l’état représente 25% de son budget soit près de 50 milliards d’euros actuels.  Le pays vit à crédit depuis cette date.

                        7/  Le déficit cumulé depuis 1982 représente 1100 milliards d’euros

                        8/  L’intérêt de cette dette représente le deuxième poste budgétaire de l’état chaque année soit environ 30 milliards d’euros.

                        Nous devons emprunter pour payer les intérêts de la dette

                        9/  La France atteint  près de   53%  de prélèvements obligatoires, les impôts ne peuvent plus augmenter sans risquer de voir s’expatrier les cadres entrepreneurs et les sièges des entreprises comme le permet la législation européenne (en cours depuis 5 ans à 10 ans)

                        10/   La politique du «  on ne touche pas aux droits acquis » des années 84 à 1988 a eu pour conséquences une mise en faillite  très importante de PME et la mise au chômage de près d’un million huit cent mille employés

                        11/   Les entreprise Françaises PME et TPE moins de 10 salariés manquent d’encadrement contrairement aux entreprises européennes.

                        Ces entreprises représentent 80% du tissus des entreprises françaises à ce jour.s

                        12/  Les fonctions publiques territoriale et hospitalière  recrutent de jeunes fonctionnaires à bac plus 3 ou 4 pour occuper des postes dévolus à des niveau BEPC sans aucune perspective de carrière

                        13/  Comparativement aux grands pays occidentaux la France emploi un trop grand nombre de fonctionnaires qui sont de ce fait très mal rémunérés

                        14/  50 grandes entreprises françaises réalisent 50% du commerce extérieur du pays, environ 5000 atteignent 90% et 125000 la totalité de nos échanges extérieurs.

Toute comparaison avec les autre grands pays européens est déplacée

                        15/  Contrairement aux autres pays européens la France ne dispose d’aucune structure EFFICACE pour accompagner ses PME à l’export

                        Le rapport d’efficacité de la seule structure existante est de un à cent seulement

                        16/  Par éthique les fonctionnaires français n’acceptent pas que les services de l’Etat puissent aider des entreprises privées à s’enrichir

                        17/ Les différents budgets de la sécurité sociales gérés par les partenaires sociaux institutionnels (syndicats FO puis CFDT en liaison avec le MEDEF absent sont systématiquement en déficit alors qu’ils représentent plus de 130% du seul budget de l’état lui-même en faillite depuis 1982.

                        18/  A partir de 2006, la première classe d’âge du baby boom 1946 arrivera en retraite soit 960 000 personnes

                        Le remplacement sera assuré par des classes d’âges qui comptent moins de 750 000 jeunes soit un différentiel de près de 200000 postes libérés chaque année.

                        La France sortira d’un particularisme depuis 1966 ou mieux 1968 où structurellement l’arrivée massive des classes d’âges nées après guerre voyait arriver 950000 jeunes pour remplacer des classes d’âges de moins de 600000 personnes.

                        Toutes les statistiques montrent que malgré les créations d’emploi la France a connu structurellement une perte de 150000 emplois par an depuis 1968

                        19/  La décentralisation conduite en France de 1982 à 1985 a été réalisée avec l’embauche de près d’un million trois cent mille nouveaux fonctionnaires

                        20/  Le volume de l’encadrement de notre population active est d’environ 15% soit pour 25 millions de postes approximativement 3750000 postes

                        21/ Le nombre de postes de cadres proposés annuellement est très inférieur au nombre de diplômés annuels

                        À partir des 3 750 000 postes définis au paragraphe précèdent, en tablant sur une durée de vie professionnelle de 40 ans ce ne sont que  moins de 100 000 postes qui se libèrent chaque année.

                        En comparant ces chiffres avec les 60% de bacheliers annuels (soit 432000) et les 230000 nouveaux diplômés au niveau d’une licence chaque année, il est évident de comprendre qu’un diplôme n’est plus la condition pour obtenir un emploi de cadre.

            A titre de comparaison en 1963   5% d’une classe d’âge obtenait sa deuxième partie du bac soit moins de 50000 bacheliers par an, avec un taux d’encadrement de 10% à l’époque le besoin annuel était supérieur au nombre de bacheliers.

            TOUT bachelier avait donc vocation à devenir cadre ce qui est absurde aujourd’hui.

                        22/  Mixité sociale

                        Jusqu’en 1960 la mixité sociale était un fait historique lié à l’histoire même de nos cités depuis le haut moyen âge.

                        La coexistence sociale se stratifiait par étages dans les habitations de nos villes.

                        23/ Les banlieues

                        L’apparition  des nouvelles banlieues en 1960 marque un progrès considérable dans les conditions de vie des plus défavorisés ; accès à la salle de bain, aux sanitaires inclus dans le logement.

                        Cette époque marque également la séparation des couches sociales dans les villes qui porte en germe des difficultés prévisibles.

                        24/  L’encadrement des banlieues

                        La vie dans ces nouvelles cités est marquée par une forte présence des syndicats des prêtres ouvriers et surtout du parti communiste Les enfants sont encadrés en permanence par les patronages religieux ou les structures laïques qui éduquent remarquablement la jeunesse dans l’esprit de la république.

                        Les hussards de la république y sont encore très nombreux, l’exigence de leur enseignement rime avec la sévérité de leur discipline, fondement indispensable à la réussite scolaire seule garante de la réussite professionnelle.

                        Les garçons sont encadrés par des instituteurs très stricts sur le plan de la discipline, indispensable à l’éducation des jeunes adolescents.

                        Les syndicats ouvriers sont omni présents dans l’accompagnement de toutes le familles présentes. Leurs rôles sociaux sont considérables mais reposent sur la compétence et le dévouement des responsables  qui sont encore très nombreux.

                        25/  L’évolution des banlieues  depuis 1975

            Avec l’évolution de flux migratoires liés au regroupement familial plus ou moins bien contrôlés, les élites ouvrières vont déserter ces zones de vie collective pour rejoindre les zones pavillonnaires et pour beaucoup accéder à l’encadrement en intégrant ainsi les classes moyennes.

            Les zones de banlieues, après la fuite légitime de leurs élites la déliquescence de l’encadrement syndical et religieux vont voir s’entasser les plus pauvres des nouveaux migrants. Cette nouvelle population démunie, la moins capable à s’adapter quand elle sait encore  parle notre langue sera incapable seule de s’adapter au changement et ne disposera plus en interne des aides préalables si ce n’est celles de services sociaux complètement inadaptés et surtout insuffisants.

                        26/ Une éducation VIRILE pour les adolescents

            L’éducation des jeunes adolescents Garçons nécessite à partir de 14 ou 15 ans la présence d’hommes qui s’ils ne sont pas autoritaires doivent au moins faire preuve d’une grande autorité sans la quelle aucune éducation n’est possible.

            La discipline pouvoir d’imposer l’obéissance nécessite parfois des rapports de force indispensables à l’éducation de jeunes garçons, pratique courante de nos anciens et vénérés Maîtres qualifiés d’Hussards de la République des années 50 et 60

            La féminisation à outrance de l’enseignement  jusqu’aux collèges ne répond pas à cette évidence et se traduit par un laxisme généralisé dont les enseignantes ne peuvent seules assumer la responsabilité.

            Les conséquences sont la fuite pour ceux qui le peuvent vers l’enseignement privé et la mise sur le marché après 16 ans de près de 75000 jeunes qui ne savent pas lire

10% d’illettrés en 2005 alors que les statistiques du contingent en dénombrent seulement 2,5% en 1962

            Ces mêmes élèves qui en milieu scolaire étaient complètement inadaptés trouvaient pour 98% d’entreeux leur place au sein d’une communauté MASCULINE au cours de leur service militaire

La transition et la compréhension des règles inhérentes à leur nouveau milieu s’effectuaient en moins de 48heures ce qui peut paraître paradoxal pour des jeunes habituellement considérés comme irrécupérables.

            Plusieurs parmi eux ont quitté la vie militaire comme sous-officiers et ont ainsi pu s’insérer dans la vie active à l’issue de cette expérience humaine PARTAGEE avec d’autres jeunes français issus de toutes les classes sociales du pays.

                        27/  Classes préparatoires  et grandes écoles  Françaises.

Le nombre des élèves qui intègrent des classes préparatoires est sensiblement équivalent à celui des années 1960.

          Ces élèves font l’objet d’une sélection rigoureuse depuis la sixième et ils sont bien souvent les seuls.

          Titulaires d’une mention au bac C dans la majorité des cas ils devront fournir des efforts considérables pendant deux ou trois ans avant d’intégrer la grande école de leur choix

          Leur nombre est quasiment identique depuis les années 60, leur taux de placement en entreprises est de 100% à leur sortie

          Ce sont donc 20 à 30 000 postes de cadres qui sont hypothéqués chaque année sur le marché du travail

          Comparativement aux 100 000 postes de cadres disponibles chaque année il ne reste que moins de 60 000 postes pour les étudiants issus des filières universitaires.

Soit 170000 titulaires d’une licence qui n’accèdent pas à un emploi de cadre sans y intégrer le 400 000 bacheliers.

L’adéquation entre les besoins du marché du travail et les filières suivies n’étant jamais réalisées dans le monde universitaire où l’idée même de sélection est à proscrire.

          Cette approche irresponsable et élitiste du monde universitaire conduit des dizaines de milliers de jeunes diplômés directement à l’ANPE sans aucun espoir de débouchés dans les formations reçues à court moyen ou long terme.

                      28/  Formation professionnelle comme rattrapage de l’éducation nationale

          L’inadaptation du milieu scolaire aux besoins réels du monde du travail a conduit ce dernier à mettre lui-même des structures de formations complémentaires de manière à former ses personnels à ses besoins

Un budget équivalent à 50% du budget de l’éducation nationale est nécessaire à cette tâche indispensable, la qualité des enseignants y est cependant bien moindre que celle de l’éducation nationale même si l’enseignement y est plus pragmatique et en phase avec les besoins réels. (Un tiers de ce budget est nécessaire à la qualification des jeunes issus du milieu scolaire Français)

                      29/  Taille des entreprises

                      La fiscalité française impose des entreprises réduites, 70% comptent moins de 10 personnes, 80% moins de 20 personnes

                      30/   Le frein à l’emploi des PME

          Les charges qui pèsent sur les entreprises depuis 1986 conjuguées aux rigueurs voire aux rigidités du code du travail nuisent à l’embauche au sein des PME françaises.

          La viabilité d’une entreprise repose avant tout sur l’équilibre entre ses marges et ses dépenses

          Comme les sociétés sont imposées à 33% de leurs bénéfices elles ont tout intérêt à maintenir un équilibre précaire en se limitant à économiser le strict nécessaire correspondant à l’amortissement des avoirs (non imposables)

          De ce fait elles ne disposent d’aucune marge de manœuvre ce qui les place en situation très précaire dès la moindre baisse de commandes.

          Comme elles ne peuvent licencier leur personnel ou modifier les salaires elles sont tout naturellement conduites à déposer le bilan comme cela leur a été imposé de 1985 à 1990

          Aujourd’hui celles qui ont pu survivre à cette période ne peuvent embaucher qu’avec des CDD qui correspondent aux commandes en cours ou voire de contrats intérimaires pour les mêmes raisons à savoir pouvoir se séparer  des salariés dès lors que les commandes baissent.

                      31/  L’insuffisance de l’encadrement des PME française

          Dans près de 80% des entreprises françaises (moins de 20 personnes) le Chef d’entreprise (souvent créateur) ne dispose pas de personnel d’encadrement autonome susceptible de prendre seul en charge l’une des trois fonctions principales de la société

(Fonction production, fonction commerciale, fonction gestion administrative financière et gestion du personnel)

          De ce fait il partage son temps (12h00 par jour en moyenne) entre ces trois fonctions indispensables et n’en remplit aucune à plein temps.

          L’injection d’un cadre ou mieux encore de deux si le marché le permet a pour résultat immédiat un doublement ou un triplement de son chiffre d’affaires en moins de douze mois avec la création de nouveaux emplois.

          Si le temps s’ajoute pour le chef d’entreprise son chiffre d’affaires est la multiplication des trois fonctions principales que sont la production le commercial et la gestion administrative.

          L’absence de cadre impose une limitation de l’activité des PME qui contrairement à nos voisins disposent dans les PME d’effectifs plus nombreux (40) et surtout de la présence d’au moins 3 cadres autonomes dans leurs fonctions

                      32/ L’insuffisance des salaires

                      Les salaires sont insuffisants pour vivre avec décence dans la société telle que nous la connaissons. Près de 10 millions de personnes disposent de moins de 847 euros mensuels pour vivre. Cela est inacceptable, non seulement pour les syndicats qui sont dans leur rôle légitime mais plus encore pour les dirigeants du pays MEDF inclus

                      33/ Economie de marché seule créatrice de richesses suffisantes

                      L’économie de marché est la seule capable de générer des richesses en abondance pour satisfaire les besoins légitimes de chacun.

          Cette évidence partiellement acceptée par les plus pragmatiques des socialistes est encore refusée par un nombre croissant d’électeurs de  la gauche française

          Les anciens peuples des ex pays de l’est qui ont eu à pâtir du joug communiste pendant 60 ou 70 ans  sont en ce qui les concerne beaucoup plus réalistes.

                      Les hommes n’étant pas égaux par nature même s’ils le sont en droit une répartition équitable doit toujours être assurées par les politiques dirigeants pour accueillir chacun à sa place au sein de la société sans pour autant l’assister, sa dignité est à ce prix.

                      Chacun doit pouvoir travailler et s’assumer seul, les aides doivent corriger les inégalités naturelles en veillant à donner à chacun ce qu’il est capable d’assumer, cela s’appelle la fraternité.

                      Personne ne doit être exclu de la communauté, cette responsabilité est l’honneur de ceux qui ont été choisis par le peuple pour les diriger.

                      34/ L’accompagnement social

     Les dépenses liées aux différentes politiques d’aide à l’emploi représentent près de 53,6 milliards d’euros soit le deuxième poste budgétaire de l’état.

          Cette somme répartie aux 4 millions de sans emplois inscrits à l’ANPE  représenterait 13400€ par an soit : 1100 euros mensuels

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Commentaires
E
JACQUES CHEMINADE DÉCLARE SA CANDIDATURE À LA PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE <br /> <br /> <br /> <br /> Dans une déclaration datée du 25 décembre 2005, le président de Solidarité et Progrès, Jacques Cheminade, explique pourquoi il a décidé de se présenter à l’élection présidentielle de 2007 :<br /> <br /> « La France a perdu le goût du futur. Mon engagement est de le lui redonner. Quelles que soient par ailleurs leurs qualités, les candidats officiels ne peuvent le faire car ils sont les émanations d’un sérail qui pense court et agit par nature contre le bien commun. Nicolas Sarkozy, apôtre de la rupture alors qu’il n’a cessé de fréquenter les allées du pouvoir et d’entretenir des connivences audiovisuelles depuis plus de trente ans, n’est que la caricature extrême de cet univers usé jusqu’à la corde. Soumis à la règle du jeu et à leur appétit de pouvoir, nos responsables ne peuvent résister à la synarchie financière qui définit leurs responsabilités.<br /> <br /> « Ma mission est, à l’opposé, de devenir - y compris avec ceux qui se ressaisiront, sans exclusion sectaire ni intégrisme - le catalyseur d’un changement. Pour cela, contrairement aux autres, je ne pars pas d’une analyse de rapports de force existants, mais d’une vision de l’avenir pour laquelle je m’efforce d’inspirer des énergies, en France et dans le monde, sans craindre de perdre ce que heureusement je ne possède pas.<br /> <br /> « Le défi n’est pas celui d’un mal français que nous engendrerions, mais de la mondialisation financière à laquelle nous nous soumettons. Bâtir une nouvelle architecture monétaire internationale pour faire sauter le verrou financier, qui impose à tous et partout l’austérité sociale, est donc notre première et plus ardente obligation. Le choix est entre continuer la dérive financière, avec devant nous les mêmes conséquences que pendant les années trente du XXème siècle, ou refonder ce que de Gaulle appelait la cause de l’humanité à partir du Global New Deal conçu par Roosevelt mais avorté par Truman. La chute de l’administration Cheney outre-Atlantique, moment historique décisif porté par mes amis américains, nous offre aujourd’hui une occasion de réussir ce qui hier ne put l’être. La laisser passer serait un crime politique. Ma campagne vise à la saisir.<br /> <br /> « L’essor de grands travaux, financés par des crédits publics à long terme et faible taux d’intérêt, permettra d’appliquer cette politique, de l’Atlantique à la mer de Chine. C’est l’horizon de notre combat, la paix par le développement mutuel et le travail qualifié promu et partagé.<br /> <br /> « Avec ce levier, nous pourrons rétablir, dans notre politique intérieure, la priorité de l’école, du laboratoire et de l’hôpital, d’une protection sociale et d’une croissance économique dignes de ce nom. A condition de redéfinir l’Europe en rejetant le carcan de Maastricht, d’Amsterdam, de Nice, du pacte de stabilité et de la Banque centrale européenne, pour lui substituer une entente de républiques souveraines ne partant plus de la monnaie pour aboutir inéluctablement à l’usure, mais d’une certaine idée de l’homme fondée sur le développement mutuel et une culture de la vie. Ainsi, et ainsi seulement, l’entente et la coopération entre les peuples pourront se substituer à une concurrence aujourd’hui faussée et corrompue par le jeu des oligarchies.<br /> <br /> « Utopique ? Non, car c’est continuer comme on va qui nous fracasserait contre le mur de la guerre et de l’argent. Le temps est venu de rompre avec une culture de la mort et un régime de castes. Faute d’agir, notre pays se fige et prend peur. Vous devez, avec moi, lui redonner un horizon. J’ai besoin de votre aide pour rétablir un vouloir vivre en commun pour tous ceux qui vivent sur notre territoire national, le bonheur d’offrir un monde meilleur à la jeunesse d’aujourd’hui et à celle des générations à naître. La raison d’être de ma campagne est qu’en respectant l’autre, nous redevenions tous citoyens d’une République retrouvée. »<br /> <br /> sites: http://www.cheminade2007.org<br /> <br /> http://www.solidariteetprogres.org<br />
P
Les RG nous disent que les émeutes n'avaient rien à voir avec l'islamisme...<br /> <br /> Sarkozy a dit sur une chaîne de télé arabe que les émeutes n'avait rien à voir avec l'islamisme...<br /> <br /> Jugez par vous-même ==> http://www.france-echos.com/IMG/wmv/video37.wmv<br /> <br /> Pour la France, en 2007, Philippe de Villiers !
G
En 2007 ; ni Sarko, ni Villepin, ni de Villiers, ni Le Pen >> Nicolas DUPONT-AIGNAN (NDA) Président !<br /> <br /> NDA, un champion, un crack, une solution alternative à la dichotomie factice UMP-PS et au choix sans issue entre la révolte (Le Pen, Villiers) et la résignation (Sarko, Villepin)<br /> <br /> Du talent, de vraies convictions, une force de proposition...<br /> <br /> 2007 avec Nicolas DUPONT-AIGNAN : à vos marques ! Prêts ? Gagnez !<br /> <br /> site : www.nda2007.fr
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