présidentielles 2007 l'amusement du public
Avant de critiquer les services de l'état, Monsieur REBELLE ne doit pas ignorer que sous françois MITTERAND donc socialiste, l'action de son organisation GREENPEACE, finacée par l'ex URSS du temps de la belle époque puis par d'autres organismes depuis, avait fait l'objet de mesures de surveillance de l'état français et même d'un sabotage préventif à AUCKLAND (afin d'empêcher le bateau "amiral" de cette organisation d'intervenir dans les eaux françaises du Pacifique où devaient être effectués des tirs d'essai nucléaires) où y a participé le propre frère de ségolène ROYAL.
Que les RG tiennent à jour une fiche de renseignement concernant le dirigeant d'une structure qu'un gouvernement Socialiste Français avait du contrer en son temps est pour le moins naturel.
Ce n'est pas le Ministre dans tout ministère qui donne les ordres d'éxecution aux centaines de milliers de fonctionnaires.
Qui peut le croire? la mauvaise foi devient un moyen de défense, cela indique le niveau qu'atteindra prochainement la campagne.
La même critique porte d'ailleurs sur l'enquête systèmatique faite sur les voisins du centre de campagne de Nicolas SARKOZY. Tous ceux qui sont si prompts à dévoiler les turpitudes des agents de l'état aurient au moins par courage du dire que le centre de campagne de ségolène ROYAL avit fait l'objet de la même procédure. le dire décredibilise totalement les attaques, chacun pourra juger. Il est vrai qu'aborder les vrais sujets fait peur tant à droite qu'à gauche d'ailleurs, car il faudra bien expliquer au petit peuple pourquoi la FRANCE se trouve dans la situation actuelle. Les débuts de réponses seront difficiles à expliquer et si lourds de conséquences? Il vaut mieux sans doute de ne pas en parler et amuser le bon peuple par des dérivatifs permanents. la ficelle est cependant assez grosse.. article" de l'AFP..... Rebelle dénonce des "tentatives de déstabilisation" de l'équipe Royal 03 février 15:46 - PARIS (AFP) - Bruno Rebelle, membre de l'équipe de campagne de la candidate socialiste à la présidentielle et ex-directeur de Greenpeace France, a dénoncé samedi des "tentatives de déstabilisation de l'équipe de Ségolène Royal", après avoir consulté à la Cnil le dossier des Renseignements généraux le concernant. Bruno Rebelle (G), en compagnie de son avocat Me Jean-Pierre Mignard, arrive le 3 février 2007 à la Commission nationale de l'informatique et des libertés (Cnil) à Paris AFP - Stéphane de Sakutin
"Dès l'instant où il est connu publiquement que
j'ai rejoint l'équipe de Ségolène Royal le 4 janvier,
que les investigations se poursuivent, que dans
une note du 22 janvier, les services reconnaissent
que je ne suis plus en fonction dans
l'organisation Greenpeace,
que d'autres informations vont être communiquées
à la presse le 24 janvier, il y a effectivement abus
dans le sens où ces investigations n'auraient jamais
dû avoir lieu", a argumenté M. Rebelle.
"Donc, ce sont effectivement des tentatives
de déstabilisation de l'équipe de Ségolène Royal",
a-t-il estimé, après une heure et demie de
consultation de son dossier avec son avocat
Jean-Pierre Mignard et en présence de policiers
des RG et de deux magistrats de la la
Commission nationale de l'informatique
et des libertés (Cnil).