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presidentielles 2007 , 2012 et 2017
20 mars 2008

Pourquoi la FRANCE ne peut pas se réformer

Pourquoi les politiques mentent ils depuis 30 ans?

 

Pourquoi  les  politiques  ont ils menti  aux Français  depuis 30ans.

La situation  financière  du Pays est devenue désastreuse  par l'incompétence  de  ceux  qui ont géré  le pays depuis  plus  de 30 ans.

Peut on imaginer  une mère de famille  gérer  son budget  en dépenssant  plus  de 25%  de  ses revenus chaque année  sans exposer  sa famille  au désastre?

C'est exaxtement  ce  qu'ont  fait  les dirigeants  de notre  pays depuis  plus  de 30 ans.

Comment  cela a t il été possible?

Pour bien comprendre  il faut revenir à 1973  et  aux effets  du premier choc pétrolier .

Les déficits  du pays  étaient  alors  minimes alors  que  du temps  de la gestion  de bon père  de famille  du général DE GAULLE  aucun déficit n'était  admis, la France  ne dépenssait jamais  plus  que ce  qu'elle disposait.

Pour faire face  à la situation  le gouvernement  dirigé  par jacques CHIRAC (74 76) avait accepté  un certain déficit  et  la mise  en place d'indmnités  de chômage  se montant alors à 90%  du dernier salaire perçu.

l'intention était généreuse  mais  ne concernait alors  que moins d'un million de personnes  avec une durée  de privation d'activité inférieure à un an.

Le second choc pétrolier causa  la destabilisation  de  ces mesures  que nous ne pouvions alors plus payer.

1981  verra l'arrivée  au pouvoir  de François MITTERAND  qui avait  fondé  son programme  sur  la rupture  avec le capitalisme.

Deux  années  plus tard  devant  la faillite totale  du pays,  ce dernier  reviendra  alors  avec beaucoup  de courage  sur une économie  de marché  avec la recherche d'équilbres plus  en phase  avec  nos moyens financiers  et  la situation  du monde.

certaines mesures  furent cependant prises  qui aujourd'hui encore PLOMBENT  définitivement nos finances si aucun correctif  ne sont rapidement mis  en oeuvre.

l'intransigeance idéologique  de certains  alliés  de gauche  de l'époque,  qui refusaient  tout licenciement  dans les entreprises  poussèrent  ces dernières  au dépôt  de bilan. la France    en effet  a 96%  de  ses  entreprises  qui comptent moins  de 20  salariés.

Quand  les  rentrées  financières  d'une petite  société sont inférieures à ses  dépenses, le dirigeant  n'a  que deux choix.

soit diminuer  sa masse salariale en baissant  les salaires  ou  en licenciant  des salariés,

soit  alors  en fermant  sa société  avec un dépôt  de bilan.

Nos dirigeants politiques  refusèrent  aux sociétés  cette souplesse  de survie  en oubliant   d'ailleurs  que  ce  sont les entreprises  et elles  seules   qui créent  les emplois.

Nous  assisteront  alors  impuissants  au licenciement  de près  de deux millions  de personnes  consécutivement  à ces  choix idéologiques.

Si  les petits  patrons  qui avaient  été obligés  de déposer  le bilan  purent créer  de nouvelles  entreprises ils le firent alors  avec moins  de personnels  et surtout  avec le recrutement  de CDD  mis  en place  par madame AUBRY pour permettre  aux chômeurs  de revenir à l'emploi.

Les  deux millions  d'emplois  détruits  ne seront jamais recréés, et depuis  cette date il manque près d'un million d'entreprises  en France  comparativement  à tous nos voisins Européens.

Pour faire face  à ce  drame  social  le gouvernement  eu alors l'idée génile  de recruter  des fonctionnaires.

La décentralisation  mise  en oeuvre depuis 1982  sera  alors l'occasion  de  recruter  de nouveaux  fonctionnaires  alors  que  le minsitre  de l'époque  (Gaston DEFFERRE) s'était  engagé  à conduire cette réforme  sous enveloppe budgétaire  c'est à dire  par transfert  de postes  de la fonction publique  nationale  vers  les  emplois  de la territoriale sans  aucun nouveau recrutement.

Plus  de 800 000  fonctonnaires  furent  ainsi recrutés  dans  dans  les conseils généraux  (qui venaient  de quitter  les préfectures où  ils disposaient  de l'ensemble  des personnels  de ces structures) que  dans  les hôpitaux.

En 30  ans  ce sront  plus  d'un million cinq cent mille nouveaux  fonctionnaires  que l'état  recrutera  pour  ses  trois fonctions publiques. Nationale (ministères  et préfectures) territoriale  (Conseils généraux  et régionaux)  et Hôspitalière.

  Ces  recrutements inconsidérés plombent  encore  aujoutrd'hui nos finances  avec  des effets pervers identifiables  pour ceux  qui veulent  les  voir.

En effet  plus  de 80%  des dépenses  de l'état  sont consacrés  aux salaires  de nos trop nombreux fonctionnaires. les  seules  dépenses  d'investissement  sont réalisées  par  le seul minitère  de la Défense  sur  un budget  qui ne représente  que moins  de 2%  du PNB  du pays.

L'effet  pervers  le plus significatif  concerne  la qualité  des recrutements  de nos plus jeunes fonctionnaires  souvent détenteurs  de formations  à bac plus 3 ou 5  pour occuper  des  emplois necessitant à peine  le BEPC  sans  aucune perspective d'avenir  dans leurs filières.

Ces  compétences  font  défaut  au sein  de nos petites PME  et explique  par ailleurs  leur incapacité  à se déveloper  et à créer  de l'emploi  par manque  dre compétence  et de cadre. (le  patron  est souvent  le seul cadre  de ces entreprises)

Pour  trouver  les financements  impératifs  à l'état,  ce dernier  ouvrit  alors  le capital  de nos grandes  entreprises  aux  fonds  de pensions anglo saxons. obligation  faite  par  ceux  qui prêtèrent  de l'argent  à l'état  (40 milliards  d'euros  par  an)  afin  de couvrir  les 25%  de déficit  et  le paiement  des intérêts  de la dette constituées.  Ces remboursements  représentent  aujoiurd'hui  le deuxième poste budgétaire  de l'état  avec près  de 40 milliard d'euros par  an.

L'ouverture  du capital  de nos grandes  sociétés se traduit  aujourd'hui  par  le fait  que  contrairement au général DE GAULLE  la politique  se fait maintenant  à la corbeille de la bourse  ce  qu'il avait  toujours refusé  et imposé.

Nos grandes  sociétés  dont les sièges  sont déjà délocalisés  pour la majorité, ne nous appartiennent  plus  et  leurs bénéfices  souvent  conséquents  (près  de 100 milliard  d'euros  en 2007) ne nous appartienent plus, ils servent à payer les retraites  des  travailleurs  des USA  qui  s'ils ne disposent pas  d'un sytème  aussi performant  que celui  de notre sécurité sociale  (en faillite) bénéficient  du travail  des  salariés français  pour subsister.

Il  est  risible  d'entendre  certains  démagogues  de gauche  réclamer  le partage  des bénéfices  de  ces  sociétés multinationales  alors  qu'ils sont eux mêmes  ceux  qui ont vendu  ces  sociétés à nos concurrents  anglo saxons.

Tant  que  nous  rétabliront  pas  les  éuilibres  fondamentaux  de nos dépenses  publiques, aucun gouvernement  de droite  ou de gauche  ne pourra durablement  s'attaquer  à la reconstruction  du pays.

Les  éuilibres  ont été rompu  pendant  30 ans, il est suréaliste  de laisser  croire  que crela sera possible  en moins  de 5 ans, c'est un mensonge. 10 à 15  ans  au minimum seront néceaires  pour rétablir nos équilibres.

les y a qu'à les Faut  qu'on, nous exàliqueront  qu'il suffirait  de réduire  de  deux millions  le nombre  de fonctionnaires  pour régler nos problèmes, si cet objectif  est réaliste il est impossible à atteindre  sans une vision glçobale  des équilibres  de notre  société.

la seule piste  crédible  qui peut  encore être  mise  en ouevre  consistera  à aller chercher  des  marchés  extérieurs  au seul rofit  de nos PME.

C'est  par  un accompagnement  réel et efficace  de nos PME  que  les points  de croissance  qui nous  font cruellement défaut  petrmettront demain  de s'attaquer  au fond  du problème.

la réduction  des effectifs  des fonctionnaires  doit être la conséquence  des  recrutrements  du privé.  ce  sont  près  de 7 millions  d'emplois qu'il nous  faut créer  au cours  des 10 prochaine années, c'est  à cette condition  et elle seule  que  les effectifs  de nos trois fonctions publiques pourront être réduits, non par licenciement  mais essentiellement  par manque  de candidat.

Nous  avons  déjà  perdu  un an  sur  ce  grand  projet, souhaitons  que  le gouvernement  s'y attelle  avec  sérieux  et efficacité.

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