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presidentielles 2007 , 2012 et 2017
23 octobre 2006

PRESIDENTIELLES 2007 FRACTURE SOCIALE

                                             PRESIDENTIELLES 2007 PROGRAMMES

           L’IMPERIEUSE NECESSITE DE REDUIRE LA FRACTURE SOCIALE

            La France dérive entre deux mondes qui s’ignorent de plus en plus. Ceci est le résultat de politiques mal comprises et mal maîtrisées tant par la Gauche que par la Droite.

            Nous avons laissé se développer des zones de « GANGRENE SOCIALE » depuis 1974, d’où ont fuit tous les Français de souche en abandonnant à leur sort les migrants les plus récents.

            L’arrivée massive de plus en plus nombreuse d’immigrés suite aux lois de regroupement familial prise par le président GISCARD et le Premier Ministre jacques CHIRAC  en 1975 répondait à un double souci :

            1/ Rendre plus performants les étrangers déjà présents sur notre territoire

           2/ Prendre des mesures humanistes pour les étrangers présents en les autorisant à faire rejoindre leurs familles.

            Ces mesures ont rapidement montré leurs limites d’autant que le peuple n’avait jamais été consulté sur la prise de décision de ces mesures.

            La première crise pétrolière de 1973 et surtout l’arrivée massive sur le marché du travail des classes d’âge nées après guerre se traduiront très vite par une montée impressionnante du chômage dans notre pays comme dans d’autres démocraties occidentales, avec cependant un particularisme Français lié à notre démographie. En effet les nouvelles classes d’âges étaient excédentaire chaque année de plus de 150 000 personnes.

            Très vite les problèmes surgiront dans les cités avec comme conséquence la fuite de tout ce qui faisait la MIXITE SOCIALE. Les cadres furent en effet les premiers à quitter ces zones, rapidement suivis par les enfants des classes ouvrières qui accédaient soit à la maîtrise soit aux postes de cadres.

            Pour des raisons idéologiques, personne ne voulu prendre en compte cette réalité. Le simple fait d’évoquer ce sujet condamnait ceux qui s’y risquaient à se faire traiter de xénophobes et pire encore de RACISTES.

            Les classes populaires les plus pauvres, qui formaient les gros bataillons des électeurs du Parti Communiste Français se sentir abandonnés et rejoindront en masse le seul parti qui même s’il ne proposait aucune solution aux problèmes avait le premier identifié ce problème. Qui fera dire à Laurent FABIUS lui-même avec courage, « Le front National pose de bonne question même si les réponses qu’il donne  sont incompatibles avec l’éthique de notre Pays. »

            La fuite des élites et donc de l’encadrement social de toute structure humaine s’accélérera encore avec la perte de puissance des syndicats, du PCF  et de l’implantation de l’Eglise catholique elle-même.

            Le manque de structures sociales et humaines surtout ouvrira le champ à l’apparition de bandes qui aura très vite pour conséquences, le délabrement de l’habitat et la fuite des services et des commerces de proximité qui furent alors rackettés.

Les populations résiduelles furent alors de plus en plus livrées à elles mêmes, pour ne pas dire abandonnées.

Là encore pour des raisons idéologiques, le pouvoir politique préconisera une certaine forme d’exception culturelle en contradiction totale avec notre politique centenaire d’assimilation des nouveaux migrants.

            Au DROIT à la DIFFERENCE clamé par la Gauche Bourgeoise vivant dans le 16° ou les plus beaux  arrondissement de Paris, de trop nombreux FRANÇAIS se firent une raison à cette situation qu’ils n’avaient pas choisie et qui leur était imposée par les politiques.

Il s y répondirent  par un DROIT à L’Indifference TOTALE

            Il aura fallu les émeutes de novembre 2005, il y a à peine un an, pour que le pays prenne enfin conscience de la situation déplorable de ces zones que certains qualifient de NON DROIT.

            Même si de nouveaux migrants parviennent encore à rejoindre ces cités en volumes d’ailleurs de plus en plus réduits, les enfants de la première et seconde vagues ne sont plus des étrangers mais « légalement » des FRANÇAIS.

Tous les sociologues savent que l’assimilation de populations hétérogènes n’est possible qu’en dessous d’un certain seuil qu’ils ont placé à hauteur de 10% de l’ensemble de la population d’accueil.

            Nous sommes dans l’obligation de constater que ce « ratio » avoisine souvent plus de 30 à 40% dans ces cités et qu’en conséquence toute assimilation à la Française devient de fait IMPOSSIBLE.

            Nous aurons mis plus de 40 ans pour parvenir à ce POURRISSEMENT, il nous faudra logiquement un temps incompressible pour corriger cette situation qui ne pourra être inférieur en toute logique à 20 ans au minimum.

            Laisser une part importante de la population FRANCAISE dans une certaine forme de « GANGRENE SOCIALE » est indigne du pays des droits de l’Homme. Les risque sont en effet considérables d’une explosion sociale comme l’a connu la France en 1788 et qui a alors débouché sur la révolution Française.

            Les plus jeunes de ces FRANÇAIS  pourront ils attendre ces 20 années qui seront nécessaires aux correctifs de la situation présente.

            Seule des propositions de NOS CANDIDATS  qui viseront à renouer avec notre histoire par une réelle MIXITE SOCIALE seront de nature demain à répondre avec efficacité à la situation présente qui résulte surtout ne notre indifférence et de l’aveuglement de nos politiques.

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